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Parmi les SSII, on retrouve deux grands profils : les généralistes et les spécialistes.

  • Les généralistes capitalisent sur la variété des expériences de développement. Ce qui a été créé et appris dans un contexte ne pourra pas être automatiquement valorisé pour un autre projet mais des bribes intéressantes, de nouvelles technos, une nouvelle façon de voir et pourquoi pas des parallèles inédits pourront émerger. Travailler avec un généraliste permet de s’ouvrir l’esprit et de faire émerger de belles idées. Outillés avec des solutions techiques transversales, ces entreprises peuvent inviter une solution informatique à partir de briques passe-partout à adapter (gestion de client, gestion de stock, gestion de planning…).
  • Les spécialistes mettent en avant leur expertise pointue. Ils ont souvent toute une panoplie d’outils pré-conçus, solidement testés et faisant très bien le job. Leurs expertise est poussée et la connaissance métier et son application concrète dans la mécanique logiciell est poussée très loin. En développement informatique, on se retrouve souvent face à des éditeurs qui proposent un logiciel de base qu’ils ont construit au fil des projets et qu’ils vendent comme solution sur laquelle se baser en l’état ou sur laquelle construire de nouvelles briques.

Quel type d’éditeur privilégier ?

Suivant le projet envisagé, les 2 approches doivent être étudiées.

  • Un besoin simple et bien identifié ? Un spécialiste avec une solution sur étagère peut très bien faire l’affaire.
  • Un besoin complexe avec pas mal de contraintes et d’historique (un outil ayant déjà sûbi plusieurs refontes) ? Un spécialiste saura certainement répondre au mieux.
  • Un besoin inédit ou qui doit faire le lien avec d’autres outils ? Le généraliste pourra plus facilement proposer des passerelles.